En septembre 2023, Dolist publiait les résultats de son premier bilan carbone associé à son activité 2022. En tant qu’acteur engagé, Dolist a à cœur de mesurer chaque année l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre nécessaires à son activité afin de les réduire. Voici donc les résultats chiffrés du 2ème bilan carbone concernant l’ensemble des activités 2023 de Dolist.  

Impact carbone en baisse : 18 tonnes C0²e en moins entre 2022 et 2023  

L’impact carbone de Dolist passe de 355 tonnes de CO2e en 2022 à 337 tonnes en 2023, soit une baisse non négligeable de 5%.

En 2023, l’empreinte carbone globale de Dolist équivaut à : 

• L’impact carbone de 34 français, versus 39 en 2022. 

• 187 aller-retours Paris New York en avion, contre 197 un an auparavant. 

• 44 tours du monde en voiture diesel, soit 3 de moins. 

L’actualisation du bilan carbone de Dolist a pu mettre en lumière une évolution concernant certains postes de dépenses énergétiques depuis l’année précédente, à savoir :  

• Une baisse significative de l’impact des postes de restauration et d’hébergement (-20%) ainsi que de télétravail (-13,5%). 

• Une légère diminution de l’empreinte carbone des achats de services et des équipements (-7% pour les deux) et des déplacements (-3%). 

• Une stabilité du côté de l’impact du fonctionnement des locaux de l’entreprise. 

• Une légère augmentation de la part du numérique (2%). 

L’intensité carbone économique 2023 de Dolist suit la tendance baissière

Une diminution identique est également observée sur l’intensité carbone économique* de Dolist qui passe de 59 kgCO²e/K€ en 2022 à 56 kgCO²e/K€ en 2023. Un chiffre qui reste bien en dessous de la moyenne du secteur des logiciels informatiques, et ce, avec une activité économique relativement stable entre les deux années. 

* L’intensité économique correspond au ratio des émissions de C0²e émise par une entreprise par son chiffre d’affaires sur la même période 

-5,9% pour l’intensité carbone par collaborateur 

Concernant l’intensité carbone par collaborateur*, Dolist maintient sa position en dessous de la moyenne du secteur d’activité avec 1,6 tCO²e en 2023, versus 1,7 en 2022, soit une légère baisse de 0,1 tonne de CO²e par rapport à l’année dernière. 

* L’intensité collaborateur est le ratio des émissions liées aux collaborateurs par l’effectif moyen sur l’année et ne concerne que certains postes (déplacement, repas, produits informatiques, bureau et télétravail). 

Un bilan carbone encourageant pour poursuivre les efforts  

L’actualisation du bilan carbone permet à Dolist de conforter ses choix en matière d’efforts et de trajectoire à tenir. L’entreprise tient ainsi à :  

• Maintenir ses efforts sur les postes engagés : sensibilisation en matière de climat, d’écogestes du quotidien, de déplacements, d’alimentation mais aussi choix d’équipements informatiques plus durables ou sélection raisonnée de fournisseurs, 

• Déployer de nouvelles améliorations, notamment en matière d’optimisation des dépenses énergétiques de ses locaux et d’approche plus responsable et durable des services numériques. 

“Nous posons un regard objectif et sensé sur les résultats de notre dernier bilan carbone”, précise Jean-Paul Lieux, directeur associé de Dolist. “Nous sommes certes fiers de voir notre impact global tendre à la baisse, mais nous sommes surtout motivés pour faire mieux, surtout lorsque nous observons les effets possibles de la sensibilisation et des efforts collectifs sur des thèmes accessibles à tous. Il s’agit désormais pour nous d’aller plus loin en ayant bien conscience que notre activité numérique est, en toute logique, notre 1er poste d’impact carbone. Pour autant, le sujet du “numérique responsable” n’en est qu’à ses débuts et nous comptons bien accompagner le développement de cette démarche à l’avenir, tant du côté de nos propres services que dans l’accompagnement de nos clients vers des pratiques plus vertueuses et efficaces à tous niveaux.”   

Vous pouvez retrouver ici le précédent bilan carbone de Dolist, concernant son activité 2022, ou encore ici les résultats synthétiques de ses 2 bilans carbone.